Le coût du stationnement a bondi de 45% en cinq ans à l’Université Laval. Les étudiants en sont les principaux utilisateurs, se procurant près de 55% des permis à chaque année.
La Confédération des associations d’étudiants et étudiants de l’Université Laval (CADEUL) a présenté la semaine dernière son plan directeur pour l’année 2012- 2013.
L’Oktoberfest de l’Université Laval, qui était organisé pour la première fois par le Bureau voyage le Transit, n’a pas dépassé le cap des 2 700 personnes de l’année précédente, ralenti par le mauvais temps à sa quatrième présentation jeudi dernier.
Signe des temps qui changent, la formation à distance connaît une importante période d’expansion. En cinq ans, le nombre de crédits-étudiants donnés par ce type d’apprentissage a bondi de 80%.
L’AÉLIÉS proposera à ses 11 000 membres de participer à un sommet d’une durée de trois jours en prévision du sommet sur l’éducation proposé par le Parti qué- bécois. L’événement de l’AÉLIÉS devrait se tenir à la mi-octobre, au retour de la relâche, ou en novembre, tout dépendant de la date qui sera annoncée par le PQ.
Les 4250 étudiants inscrits à l’Université du troisième âge de Québec (UTAQ), dont la majorité sont sur le campus de l'Université Laval, ne se mettent pas trop de pression. Généralement inscrits par pur plaisir et étudiant par passion, ils pro- fitent d’un milieu d’apprentissage et de socialisation peu commun. Portrait d’une université parallèle.
Pour combler son manque à gagner de 4,7 millions de dollars et boucler son budget 2012-2013, l’Université Laval pourrait compter sur des sources de revenu auxiliaires, tel que le suggéraient la CRÉPUQ et le gouvernement libéral lors de l’élaboration de son plan budgétaire en 2010.
Pour diversifier l’offre aux étudiants, l’AÉLIÉS ouvrira un café style bistro au retour des vacances des Fêtes, au début de janvier 2013, dans le pavillon Alphonse-Desjardins. L’association de deuxième et troisième cycles espère ainsi combler un vide dans l’offre de service aux étudiants.
Malgré la sympathie apparente du gouvernement Marois pour leur cause, la CLASSÉ demeure sur ses gardes. Afin de maintenir la pression sur les nouveaux élus, elle organisera une manifestation le 22 septembre à Montréal pour la gratuité.