Commençons par le commencement. Tout d’abord bonjour et bienvenue aux nouveaux étudiants de l’université. Pour ceux qui commencent, vous tenez entre vos mains votre journal universitaire, paraissant une fois par semaine, le mardi. Pour vous, un «Bon travail et bonne chance !» et une petite tape dans le dos. Pour les autres, ceux qui en sont rendus à leur deuxième, troisième ou septième année d’études parmi nous… Le café coule à flot, la semaine de lecture pourrait, cette année et avec un peu d’efforts, s’appeler semaine de congé et les professeurs, malgré leurs CV impressionnants, ne sont aussi qu’humains… Vous connaissez la routine !
Pour ce numéro d’Impact Campus, nous avons décidé de commencer en douceur. Question de prendre le temps de regarder le train des nouveautés s’approcher, de prendre une grande inspiration et vous proposer une perspective de l’année qui arrive. Entre les nouvelles avancées technologiques, les revendications étudiantes, une crise d’adolescence de la politique nationale, j’en passe et pas des meilleurs, Impact Campus se lance corps et âme dans son 25e anniversaire. Je ne voudrais pas griller le punch, le 25e ce n’est pas tout de suite. Mais ça arrive et nous vous promettons que, non seulement le journal survi, mais qu’il prépare son trentième comme un jeune carriériste ambitieux.
Je ne nous souhaite pas la fin du monde en 2012, en tout cas pas sous la forme du navet de Emmerich. Je souhaite à tous un grand soupir de soulagement et j’ai hâte d’entendre une matante dans le prochain souper de Noël affirmer: «Peut-être que les Mayas étaient juste tannés de compter les jours il y a 5000 ans ?»
Écrit sur Wagon Wheel de Old Crow Medecine Show
