Après deux mois d’absence, Zéphyr Artillerie remontera sur les planches, dans le cadre du Festival de la chanson de Tadoussac. Armé de son dernier opus, Chicago, et de quelques nouvelles pièces, le sextette, dont la moitié habite la Capitale, ne demande qu’à reprendre le travail.
Ce sera une première pour la joyeuse bande de se produire sur les planches du festival. «Tadoussac, on m’a dit : gros party», lance Alexandre Lefrançois, batteur au sein de la formation.
«On a vraiment hâte de jouer. On va faire le show basé sur l’album, mais twisté sur le party.»
La sortie de sa première galette, en novembre dernier, a d’ailleurs eu plusieurs impacts positifs sur Zéphyr Artillerie, qui performe depuis maintenant cinq ans. «On a eu plus d’exposure médiatique, on a joué plus à Montréal, certaines radios nous ont fait joués, explique-t-il. Même si les gens achètent de moins en moins de CD, c’était important pour nous de sortir un disque, pour la reconnaissance.»
Quand la moitié de la formation est basée à Québec, que l’autre se trouve à Montréal, que certains membres ont des enfants et des maisons, les tournées deviennent une occasion en or de se retrouver pour les six protagonistes de Zéphyr Artillerie. «On a vraiment du fun en tournée!», échappe spontanément Alexandre Lefrançois. «On aime vraiment ça aller jouer loin. Les rides de chars sont drôles, on rit!»