Une plainte d’agression sexuelle à l’Université Laval

Le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) a ouvert une enquête hier tard en soirée, alors qu’une plainte d’agression sexuelle dans les résidences du pavillon Alphonse-Marie-Parent a été déposée.

L’appel a été reçu à l’interne vers 21 h 45 par une proche de la plaignante. Les corps policiers ont souligné que l’individu suspecté est connu de la victime dans cette affaire.

Aucun lien n’est toutefois à faire avec la crise d’agressions sexuelles sur le campus au mois d’octobre, selon les dernières informations.

« On veut mentionner qu’il n’y a pas de lien avec plusieurs plaintes d’agressions sexuelles qui ont eu lieu il y a quelque mois à l’Université Laval. On ne parle pas d’introduction par effraction comme ça avait été le cas » -Étienne Doyon, porte-parole du SPVQ.

Rétroaction immédiate

Des agents du Service de sécurité et de prévention de l’Université Laval (SSP) se sont rapidement occupés de la résidente avant l’arrivée des policiers, qui l’ont ensuite pris en charge.

À leur arrivée, les membres du SSP étaient accompagnés de conseillers étudiants de terrain pour les résidences, qui sont formés afin d’intervenir dans ce genre de contexte.

Selon Radio-Canada, aucune arrestation n’a été effectuée jusqu’ici. La jeune femme rencontrera les enquêteurs au cours de la journée de mardi.

« Il y a une cellule de crise qui a été déployée à l’université, a indiqué l’agente aux communications de l’institution, Andrée-Anne Stewart. On collabore avec la police pour le moment. »

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