Photo : Danika Valade

Carré des affaires : Les étudiants sont gagnants

Ça brasse des affaires au nouveau Carré des affaires. Inauguré depuis peu, les étudiants peuvent bénéficier d’un espace à la hauteur d’une école de commerce de classe mondiale, estime le doyen de la Faculté des sciences de l’administration (FSA), Michel Gendron.

Le doyen est catégorique : si la Faculté avait la prétention de jouer dans les ligues majeures, il fallait un espace à la hauteur des attentes. Dans les cartons depuis sept ans, le Carré des affaires rassemble notamment une salle multifonctionnelle, un espace d’apprentissage actif et les nouveaux bureaux du Service de Placement de l’UL (SPLA) destinés aux étudiants en administration.

Sombres et exigus, les anciens locaux du SPLA n’étaient vraiment pas adéquats, confie Lyne Bouchard, directrice du Carré des affaires. La toute nouvelle salle d’apprentissage actif peut quant à elle accueillir à la fois sept équipes de travail et dispose d’une technologie d’enseignement avancée. « On peut même écrire sur les vitres » pour mener des séances de brainstorming, s’amuse à dire Olivier Duval-Montminy, responsable des opérations.

Le vice-président aux finances de l’Association des étudiants en sciences de l’administration (AÉSAL), Simon Rheault, est d’avis que le Carré deviendra un « hub pour rapprocher les étudiants et les entreprises. »

Si les étudiants ont financé à hauteur d’un million de dollars sur 10 ans via le Fond d’investissement des étudiants en sciences de l’administration (FIÉSA), il revient à ces derniers une place centrale dans la tenue des événements. Ne peut pas réserver la salle multifonctionnelle qui veut, assure le doyen. Catherine Pelletier, directrice des communications à la FSA, fait savoir que la « condition sine qua non [pour réserver cette salle], c’est qu’il y ait un professeur qui soit porteur du dossier […], et que des étudiants soient invités et qu’ils aient un bénéfice [pour eux de participer] à l’événement ».

Auteur / autrice

  • Jean-Frédéric Moreau

    L’actualité évolue plus vite qu’il n’est capable de la suivre… Et cela l’ennuie parfois. Certes, ce nouveau diplômé en science politique et philosophie ne manque pas de discuter politique autour d’un breuvage houblonné. Épicurien sur les bords, au caractère rationnel, les questions fusent sur tous les sujets. Il troque désormais son micro (il co-animait L’heure juste sur les ondes de CHYZ 94.3) pour l’énergie de la salle de rédaction d’Impact Campus.

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