Depuis quelques semaines, nos collègues des journaux du Québec ont fait plusieurs articles sur le sujet des routes détruites de la province. Le campus de l’Université Laval ne fait pas exception avec ses voies pavées en décrépitude. Impact s’est amusé à comparer ces routes avec celles de la ville de Québec. Le résultat est peu reluisant.
Sur le campus Ste Foy, une seule rue a semblée acceptable pour y rouler sans y renverser le contenu d’un gobelet de café. L’Avenue du Séminaire est, de loin, la moins cahoteuse des rues utilisées lors de la recherche dédiée à cet article. Toutes les autres rues comportent au minimum des crevasses, des nids de poule ou des dénivellations importantes.
Parmi les pires rues, voici celles à éviter :
L’Avenue des Sciences Humaines et très achalandée et la route en pâtie visiblement alors que des trous de la grosseur d’un ballon y sont visibles. Du côté ouest du campus, la Rue de la Médecine ne donne pas sa place. À l’intersection de la Rue de l’Agriculture, la route est littéralement en train de s’effriter.Plus au sud, la Rue de la Terrasse qui passe juste devant le Peps, est probablement la pire voie circulable du campus alors qu’il y a des dénivelés importants. Lors de la prise des photos, Impact a remarqué les suspensions des autobus et voitures passantes qui se faisaient malmener dues à ces bosses.
Quelques réparations ont été faites à des endroits, mais malheureusement, le travail a été bâclé. Ce qui fait en sorte que la situation est maintenant pire que jamais. En effet, des trous ont été à moitié remplis de bitume, laissant l’autre moitié vide. De cette façon, l’eau s’y accumule et érode la terre, ce qui agrandi considérablement ces ouvertures.Les usagers des autobus aussi sont à plaindre dans cette situation. Ils se font chahuter d’un bord et de l’autre non seulement lorsqu’ils se déplacent en dehors du campus, mais aussi sur les rues appartenant à l’Université. Les automobilistes pour leur part, se font brasser dans les multiples nids de poules et endommagent leur suspensions et jantes de roues dues à l’état des rues.
Nous avons tenté d’avoir des réponses de l’Université quant à la gestions des infrastructures, mais au moment d’écrire ces lignes, aucun retour nous a été fait.