Agenda culturel du 11 au 17 novembre 2014

UNIVERSITÉ LAVAL

La semaine d’improvisation s’amorce avec un match opposant les Toxiques et les Corrosifs (LIDUL) mercredi le 12 novembre à 20h au bar la Dérive (pavillon Vachon). Entrée gratuite. Elle se poursuit le lendemain 20h, moment où les Oranges affronteront les Verts (LIMUL) à la salle Robert Gravel (local 2320 du pavillon Desjardins-Pollack). Le match sera suivi d’un karaoké. Bière à 3 $, entrée gratuite. Le vendredi, les Trèfles croiseront le fer avec les Coeurs au Grand Salon. 6 $ pour les étudiants, 7 $ général.

Ce samedi 15 novembre 19h, le Fou Aelies accueillera la Soirée Film & Cocon pour souligner le début de l’appel de film du Festival de Film Étudiant de Québec. Au menu : projection de courts métrages du Kinö01 et de Forrest Gump, bar de dégustation de popcorn, sélection de films prévisionnés. 5 $ à l’entrée.

La dernière série d’ateliers Triptukhos de l’automne (Cercle d’écriture de l’UL) porte sur la violence. Ce mercredi 19h, il y aura une séance d’écriture dans les cellules de l’ancienne prison de Québec, dans le Musée national des beaux-arts du Québec. Gratuit pour les membres, 3 $ pour les non-membres. Ouvert à tous.

VILLE DE QUÉBEC

Envie de bouger ce jeudi ? La gang du Punch Club organise une soirée festive au Sacrilège (447, rue Saint-Jean). DJ set d’Ogden Robert Nelson sur place. Entrée gratuite, 20h.

La pièce « Les Chaldéennes » de Manuel Guérette sera présentée du 12 au 16 novembre au Studio P (280 rue Saint-Joseph Est). La production du Théâtre Parce présente sept filles colorées, chacune étant associée à un jour de la semaine. Les représentations seront données du 12 au 15 novembre à 20h et le 16 novembre à 14h. Les billets sont au coût de 25 $. 5 $ du prix d’entrée sera versé à un organisme venant en aide aux femmes.

Auteur / autrice

  • Kim Chabot

    Journaliste culturelle dans l’âme et historienne de formation, Kim est passionnée par la littérature, les arts visuels et le théâtre. Elle aime découvrir de tout, des grands classiques aux projets artistiques de la relève. Pour elle, les scènes de l’Université Laval et de la Ville de Québec sont des gros terrains de jeux aux possibilités infinies. Elle nourrit aussi un grand amour pour la langue française, au grand dam de ceux qu’elle reprend inlassablement pour des « si j’aurais ».

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