Agenda culturel du 20 au 26 janvier 2015

L’exposition « Au bouleau, il y a du pin sur la planche ! » est présentée à la Salle d’exposition du pavillon Alphonse-Desjardins depuis le 19 janvier. Les œuvres de la vingtaine de finalistes du concours de photographies de la Semaine des sciences forestières y seront exposées jusqu’au 7 février. Les créations de trois artistes peintres invités y sont également montrées. Entrée gratuite.

Cette semaine, les Corrosifs se mesureront aux Toxiques (LIDUL) dans la salle Le Cercle du Pavillon Alphonse-Desjardins, ce mercredi 21 janvier dès 20h. Entrée gratuite. Le lendemain 20h, les Verts s’opposeront aux Oranges (LIMUL) à l’amphithéâtre Hydro-Québec. Bière à 3 $, entrée gratuite. Le vendredi 23 janvier, ce sera au tour des Carreaux de défier les Trèfles (LUI) au Grand Salon. 6 $ pour les étudiants, 7 $ général.

Une soirée de financement pour la LIDUL aura lieu jeudi le 22 janvier au bar Le Sacrilège (447, rue Saint-Jean) dès 20h. Un montant sera reversé à la ligue sur chaque verre, pinte ou pichet vendu pendant la soirée . Entrée libre.

Ce vendredi 23 janvier 19h30, la série Grands ensembles de la Faculté de musique présente « Musique à l’écran ». Le concert de l’Orchestre à vent dirigé par René Joly aura lieu à la salle Henri-Gagnon (local 3155 du pavillon Casault). Le prix d’entrée est de 15 $ pour le grand public et de 10 $ pour les étudiants. Dimanche le 25 janvier 14h, la série Professeurs en concert accueillera le trio d’instruments à vent Ventus Operandi, toujours dans la salle Henri-Gagnon. Entrée libre.

Auteur / autrice

  • Kim Chabot

    Journaliste culturelle dans l’âme et historienne de formation, Kim est passionnée par la littérature, les arts visuels et le théâtre. Elle aime découvrir de tout, des grands classiques aux projets artistiques de la relève. Pour elle, les scènes de l’Université Laval et de la Ville de Québec sont des gros terrains de jeux aux possibilités infinies. Elle nourrit aussi un grand amour pour la langue française, au grand dam de ceux qu’elle reprend inlassablement pour des « si j’aurais ».

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