Agenda culturel du 7 au 13 octobre 2014

UNIVERSITÉ LAVAL

La Salle d’exposition du pavillon Alphonse-Desjardins (local 2470) accueille l’exposition « Pop Star » de Simon Laprise. La série de portraits réalisés par l’étudiant en arts visuels de l’Université Laval invite à la réflexion sur la publicité et le rapport à l’image. L’exposition est présentée jusqu’au 17 octobre 2014.

VILLE DE QUÉBEC

La formation rap montréalaise Dead Obies sera de passage au Cercle le vendredi 10 octobre à 21h. Le groupe présentera des pièces tirées de son opus Montreal $ud dont les rythmes denses alliant électro, hip-hop et punk furent bien accueillis par les fans du genre et par la critique. Ouverture des portes à 20h. 14 $ en prévente, 18 $ à la porte.

Le café-lavoir-espace d’art La Buanderie, qui ouvrira ses portes cet automne, propose La petite brassée le vendredi 10 octobre. L’évènement se déroulera en trois temps : un brunch musical au Caféine Café de la Fabrique (295, Charest Est, local 365) dès 11h30, un parcours découverte artistique dans la Basse-Ville dès 13h30 et un 5 à 7 littéraire à la Librairie Saint-Jean-Baptiste (565, rue Saint-Jean). Prévoyez 5 $ pour le brunch et 10 $ pour le parcours. Réservations requises pour le parcours (info@labuanderie.org).

Alex Nevsky sera de la première Nuit FEQ de l’automne, le 11 octobre 20h à L’Impérial de Québec. L’auteur-compositeur-interprète partagera la scène avec Current Swell (indie rock) et Foreign Diplomats (indie pop). Cette série de concerts donnera la chance de voir entre autres se produire The Barr Brothers et The Seasons plus tard cet automne. Ouverture des portes à 19h, 15 $ à l’entrée.

Auteur / autrice

  • Kim Chabot

    Journaliste culturelle dans l’âme et historienne de formation, Kim est passionnée par la littérature, les arts visuels et le théâtre. Elle aime découvrir de tout, des grands classiques aux projets artistiques de la relève. Pour elle, les scènes de l’Université Laval et de la Ville de Québec sont des gros terrains de jeux aux possibilités infinies. Elle nourrit aussi un grand amour pour la langue française, au grand dam de ceux qu’elle reprend inlassablement pour des « si j’aurais ».

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