Russie impériale, 19e siècle
Adaptation cinématographique du roman de Tolstoï publié en 1877, la production britannique Anna Karérine n'est ni une pièce de théâtre, ni un film : c'est un mélange habile des deux.
Arts & culture
Leonard Cohen à Québec : moment de grâce
Venu présenter son plus récent spectacle dans la capitale, après avoir conquis Montréal et l’Europe, Leonard Cohen a fait œuvre de magie, parvenant dès sa première chanson — l’inoubliable Dance Me to the End of Love— à transformer l’aréna décrépit en glorieuse cathédrale
LE SYNDROME DE LA VIS, MARIE-RENÉE LAVOIE
Le jour, Josée est enseignante de littérature. La nuit, elle essaie de dormir. Après un assoupissement entraîné par la lecture d’un livre d’Umberto Eco, qu’elle ne terminera d’ailleurs jamais, le moindre bruit ou mouvement la réveille.
-M-, ÎL
Avant même d’écouter les premières notes d’Îl, on sait qu’on aura affaire à l’oeuvre d’un personnage coloré et déjanté. Pour l’ouverture de Elle, Mathieu Chédid, mieux connu par la première lettre de son prénom, joue avec le feu et ose les clapotis aquatiques en fond sonore.
Mosaïque contemporaine
Émergences chorégraphiques 2012, présenté au Studio d’essai de la coopérative Méduse, permettait de découvrir onze danseurs et six chorégraphes en une heure.
Apprivoiser la pop
C’est aujourd’hui que Karim Ouellet sort son deuxième album, Fox. Son lancement dans la Vieille Capitale aura lieu au Cercle le mercredi 28 novembre à 21 h.
De quoi, pardon monsieur ?
Aucune mention générique, papier glacé inédit, un six-coups de cowboy disséqué en première de couverture, un solénoïde sur la quatrième : mais qu'est-ce que ce Traité de balistique ? Et qui est Alexandre Bourbaki ?
Guitar Hero
Le Théâtre Petit Champlain affichait complet mercredi dernier, lors du passage de Kim Churchill à Québec. Salle comble, spectateurs comblés.
La poésie anachronique de Fred Pellerin
Ésimésac a deux ans, la taille d’un jeune homme et la force d’un train. Il n’a jamais vécu les temps fastes où chacun mangeait à sa faim et où les jardins nourrissaient leurs propriétaires. Ce qu’ils mangent : « de la misère ! », comme dit sa mère.