Ce silence qui ne m’appartient pas porte sans doute le nom de ma mère
Par Myriam Coté, journaliste collaboratrice Il s’agirait de parler des mères majuscules, des mères dictionnaires. Le texte (peut-être qu’il prendrait vaguement la forme d’un dialogue) évoquerait la peur, la honte : dirait les grandes plaques de tôles enfoncées par amour dans...