Photo : Alice Beaubien

Dans les coulisses de UL : Les livres rares

Cette semaine nous nous intéressons aux livres rares de la bibliothèque Jean-Charles Bonenfant. Sonia Léger, bibliothécaire-conseil responsable de la collection des livres rares, nous a préparé une vaste sélection avant de nous amener parcourir les archives de façon exclusive.

Un livre rare se caractérise par sa valeur et non par son âge. On inclu tant des livres des années quatre-vingt que des livres de plusieurs de siècle dans cette catégorie. Leur valeur s’évalue selon plusieurs critères: l’ancienneté, la dédicace, le format ou à des fins de recherches. Auparavent, l’Université avait un budget pour en acheter de nouveaux, mais dans un contexte d’austérité budgétaire, elle reçoit plutôt des dons ou fait des achats sélectifs suite à des demandes de chercheurs.

 


Les mémoires de la reine Victoria, dédicacées à l’Université Laval.

 
Livre de Gilles Vigneault conçu avec les tuiles du château Frontenac.
 
Le folklore est une des spécialités de recherche à l’Université Laval.

  

Certains livres doivent être manipulés avec des gants pour ne pas abimer l’enluminure (illustration sur des manuscrits).

Les archives regroupent environ 36 000 documents recueillis par l’université Laval.

 Ces oeuvres sont étiquetées, parfois ligaturées ou mises dans une pochette en plastique pour les protéger du vieillissement. La température ambiante est contrôlée en ce sens également.


Parfois, on découvre des fragments d’histoire comme ces diapos et cette cassette de la Nuit de la poésie québécoise. On trouve également de nombreux manuels scolaires jadis utilisés au primaire ou au secondaire.

La section du rez-de-chaussée regroupe les grands formats de livres rares comme les livres d’art en majorité, de géographie, de théologie ou de façon étonnante, de super-héros.

 

Pour de plus amples informations vous pouvez consulter la page de la bibliothèque de l’Université, ou visionner la vidéo de présentation.

Auteur / autrice

  • Alice Beaubien

    Les photo-reporters m'ont donné la passion du journalisme quand j'étais ado. Plus tard, j'ai fait du graphisme pour le journal étudiant du cégep Limoilou et j'ai ensuite commencé à écrire en commençant par des critiques d'art. J'ai développé ma plume dans cette section en arrivant à l'université. . Je scrutais aussi attentivement le travail de mes prédécesseurs et des journaux concurrents de manière régulière. . Un jour, j'ai décidé de me donner les moyens d'avoir ce poste alors j'ai pris un travail à temps partiel pour me payer un boitier plus décent et j'ai pris un café avec une ancienne pour avoir des conseils de qualité. . Deux semaines après avoir commencé, j'ai décidé de prolonger d'une session mon cursus en Design Graphique, car j'aimais trop mon travail. . En une semaine, les assignations varient de l'actualité étudiante sur le campus, des spectacles ou expositions ou encore du sport ou des rassemblements sociaux, c'est très stimulant pour l'âme et l'oeil. . Ah pis, c'est Alice B.E.A.U.B.I.E.N comme le métro à Montréal ou son cinéma. 😉

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