En me promenant à Place Laurier, je me suis dit que je pourrais aller faire le plein de bonbons à une piastre au Dollarama. C’est toujours inquiétant pour la santé mentale de toutes les personnes qui achètent leurs bonbons au triple du prix au Couche-Tard… non mais des palettes de chocolat à 70 cennes… qui dit mieux ?
Bon, c’est pas ça mon point anyways… J’en venais au fait qu’en passant dans le corridor qui mène au Dollarama, l’espèce de ruelle sombre qui mène dans les catacombes de Place Lau, j’ai vu les « suits » dans les vitrines du Château. C’est là que j’ai pensé au nombre de galas de toutes sortes pour toutes les raisons les plus bâtardes qu’on peut trouver sur le campus de l’Université…
Le Gala de la relève en communication, le Gala de la vie étudiante, le Gala des jeux de la communication, le Gala de la relève en or, le Gala des prix Hermès, le Gala FSA (juste faire remarquer que ces deux derniers sont dans la même faculté) et j’en passe. BEAUCOUP.
Non, mais est-ce qu’on peut simplement s’imaginer le nombre de robes, de cravates et de brassières pas de bretelles qui se vendent UNIQUEMENT pour être portés sur le campus ?
Je suis de plus en plus certain qu’il y a une pogne dans ça. Une espèce de mafia du gala sur le campus qui fait en sorte de booster l’industrie de la bobette qui ne marque pas à travers la robe.
Just sayin’… c’est sans compter toutes les remises de diplômes là…