Face à une équipe beaucoup plus faible sur le papier, les joueuses de Bill McNeill n’auront attendu que 10 minutes avant d’inscrire leur premier essai. Comptant la bagatelle de huit essais durant la rencontre, l’écart entre les deux équipes a permis au technicien lavallois de faire des tests. «Suite au premier essai, ça a bien roulé pour nous. Après 30 minutes en première demie, on a fait rentrer les remplaçantes. Les 23 joueuses inscrites sur la feuilles de match ont participé. Ça a permis de roder les filles qui jouent moins», a expliqué Bill McNeill.
Les essais ont été inscrits par Charlotte Vallières-Villeuneuve, trois fois, par Catherine Carrier, deux fois, et par Claudiane Renaud, Stéphanie Bernier et Onienté K. Laflamme, une fois chacune.
Autre satisfaction du côté de l’organisation lavalloise: aucune blessée en plus n’est à déplorer. De bon augure avant la réception des Stingers de Concordia, l’équipe qui semble la plus dangereuse aux yeux de M. McNeill. «Contre Concordia, ce sera le dernier match de la saison [régulière]. C’est la seule équipe qui est proche de nous, même si elle a perdu des éléments importants en attaque. Ce devrait être le match le plus difficile, mais c’est très jouable», analyse l’entraîneur-chef de Laval.
Si les Lavalloises continue à jouer de la sorte, en faisant preuve d’une «bonne cohésion sur le terrain» et en proposant autant de «beaux jeux», comme l’affirme Bill McNeill, la victoire ne devrait pas être difficile.
Prochain rendez-vous au stade du Peps le samedi 11 octobre.
