Des partisans fidèles

Quelques partisans des Carabins étaient reconnaissables par leurs chandails bleus samedi dernier, lors du match opposant leur équipe à celle du Rouge et Or. Pourquoi est-ce important pour eux de suivre leur équipe sur la route ?

« Il n’est pas rare de voir d’autres équipes se déplacer pour encourager les leurs à Montréal, alors nous nous sommes dit : ʺpourquoi ne pas rendre la pareille et faire le voyage à Québec ?ʺ », lance Charles Courteau, pour qui c’était une première partie chez l’ennemi. « Nous voulons voir la série de victoires du Rouge et Or s’arrêter aujourd’hui. »

« J’aime les Carabins, ça fait six ans que je les suis et que j’ai mes billets de saison », explique Kevin L’Heureux qui, lui, se promène de stade en stade au Québec et même aux États-Unis.

La météo : un obstacle ?

Dame Nature n’annonçait pas un scénario de rêve pour le match entre les deux grands rivaux. Heureusement, les nuages menaçants se sont dissipés juste à temps pour le début des hostilités, laissant place à un ciel rouge… et or.

Pluie, pas pluie, l’ardeur des partisans des Carabins aurait été le même. C’est en tout cas ce que prétend Jean-Pierre Jobin, pour qui l’attrait de la rivalité est plus fort que les caprices météorologiques. « Un match Carabins-Rouge et Or, y’a rien qui peut égaler ça ! », martèle celui qui n’aurait manqué cette joute pour rien au monde, surtout pour quelques gouttes de pluie.

La troupe de Glen Constantin sera sur la route pour les deux prochains matchs. À n’en pas douter, les partisans lavallois les y accompagneront.

Auteur / autrice

  • Mathieu Turgeon

    Étudiant en journalisme, j'écris pour la section des sports d'Impact Campus depuis déjà deux ans avec comme assignation la couverture des parties de football du Rouge et Or ainsi qu'à la rédaction d'un résumé hebdomadaire des activités des Remparts de Québec.

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