Selon les mêmes militants de l’opposition, les partis anti-Chavez auraient remporté plus de la moitié du vote populaire, une déformation expliquée par le plus grand nombre de sièges attribués dans des circonscriptions rurales, généralement plus attachées au gouvernement de M. Chavez. Les militants chavistes célébraient eux aussi, car ils conservaient une confortable majorité en chambre.

Hugo Chavez profite encore d’un taux de popularité avoisinant les 40%, une situation dont se sert l’opposition pour faire élire, depuis peu, des candidats dans des postes municipaux ou régionaux.

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