Une deuxième édition bien remplie pour le Festival de théâtre de l’UL

Des laboratoires, des lectures, des rencontres avec des grands du milieu : la prochaine édition du Festival de théâtre de l’UL, dont la programmation a été lancée jeudi dernier au Fou AELIÈS, promet cinq journées bien remplies du 8 au 12 mars.

Pour sa seconde édition, le FTUL a réussi à mettre la main sur un porte-parole de choix : le metteur en scène Christian Lapointe (Sauvageau Sauvageau, La République du bonheur).

C’est ce dernier qui officiera le coup d’envoi, moment où seront présentées les quatre prestations conçues par les équipes du Bouillon d’art multi (BAM). Des performances de Ma Querelle et de Mathieu Larrivée, directeur artistique de La grande chasse, sont aussi au programme. Le 8 mars à 19h à Méduse, 5 $ à l’entrée.

On promets autant d’étincelles pour la soirée de clôture, qui mettra notamment en scène la musique d’Anatole de façon théâtrale. Le 12 mars à 21h au LANTISS du pavillon Casault, 5 $ à l’entrée.

Entre les deux se profilent une brochette d’activités pour les amateurs de théâtre, dont une conférence sur la place des femmes au théâtre avec Noémie O’Farrell, Marie-Ginette Guay et Alexandre Fecteau, de même qu’une vingtaine de spectacles montés par des étudiants ou de jeunes compagnies de la relève.

La cuvée 2016 du jeune festival annonce aussi le retour du dramaturge Larry Tremblay, invité remarqué lors de la première édition, qui s’entretiendra avec Christian Lapointe le 12 mars à 14h30 à la salle Henri-Gagnon.

La programmation complète disponible ici.

 

Auteur / autrice

  • Kim Chabot

    Journaliste culturelle dans l’âme et historienne de formation, Kim est passionnée par la littérature, les arts visuels et le théâtre. Elle aime découvrir de tout, des grands classiques aux projets artistiques de la relève. Pour elle, les scènes de l’Université Laval et de la Ville de Québec sont des gros terrains de jeux aux possibilités infinies. Elle nourrit aussi un grand amour pour la langue française, au grand dam de ceux qu’elle reprend inlassablement pour des « si j’aurais ».

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