• Annoncez chez nous
  • Impliquez-vous !
  • Joindre l’équipe
  • Emplois
  • Rechercher
  • Actualités
  • Arts & culture
  • Sciences & Technologies
  • International
  • Sports
  • Opinion
  • Archives vidéos
Impact Campus logo
  • Actualités

    Actualités

    Tout voir
    • Université Laval : plus de 13 000 diplômes décernés pour l’année 2021-2022

      23 juin 2022
    • Passages Insolites : en marche pour la 9e édition

      21 juin 2022
    • Des manifestant.es de Québec veulent obtenir justice

      14 juin 2022
    • Campus
    • Ville de Québec
    • Politique
    • Dossiers
  • Le Mag

    Le Mag

    Tout voir
    • eXistenZ : Cronenberg et l’anti-ludisme

      26 avril 2022
    • Une solution à la guerre ?

      26 avril 2022
    • La mort d’Ivan Ilitch de Léon Tosltoï, une nouvelle glaçante sur la fin de vie

      26 avril 2022
    • Avril 2021
    • Mars 2021
    • Février 2021
    • Décembre 2020
    • Novembre 2020
    • Octobre 2020
    • Archives du Mag
  • Société

    Société

    Tout voir
    • Université Laval : plus de 13 000 diplômes décernés pour l’année 2021-2022

      23 juin 2022
    • Des manifestant.es de Québec veulent obtenir justice

      14 juin 2022
    • Ce que l’on respire en Basse-Ville

      23 mai 2022
    • Réalité étudiante
    • International
    • Sciences
    • Question de société
    • Lettres ouvertes
  • Arts

    Arts

    Tout voir
    • Obi-Wan Kenobi : la saturation des franchises

      23 juin 2022
    • Eddy De Pretto : Le petit prince de l’Impérial

      21 juin 2022
    • Passages Insolites : en marche pour la 9e édition

      21 juin 2022
    • Campus
    • Sorties
    • Critiques
    • Entrevues
  • Sports

    Sports

    Tout voir
    • Basketball : Programme double, performance miroir

      27 février 2022
    • Une première coopérative de Yoga à Québec

      12 novembre 2021
    • Le Rouge et Or en bref du 27 septembre 2021

      27 septembre 2021
    • Rouge et Or
    • Régional
    • Professionnel
  • Archives photos et multimédias
    • Archives vidéos
    • Reportages archivés
Photo : ULaval

L’École de service social se modernise

Émilie Pelletier10 octobre 2017
ActualitésCampus0 Commentaire

L’École de service social, qui existe depuis 1944, subira au cours des prochaines semaines des modifications quant à son appellation et ses fonctions. Après consultation de l’assemblée, cette dernière portera désormais le nom d’École de travail social et de criminologie (ÉTSC).

Poursuivant des objectifs de modernisation de l’expression service social et de mise au premier plan du programme de criminologie, le vote s’est avéré quasi-unanime en faveur de l’adoption d’un nouveau nom pour l’École. La formation du certificat en criminologie a été instaurée en 2011, alors qu’en 2012, on rendait possible l’inscription au baccalauréat, accueilli au sein de l’école de service social.

L’appellation du programme de service social constitue une source de débats et de controverse dans quelques universités du Québec. Considérant que l’on forme des travailleurs sociaux, il semblait plus approprié pour plusieurs d’établir un lien direct avec le statut professionnel.

« Il était nécessaire pour nous de prendre une certaine distance par rapport aux origines caritatives du travail social, afin de se mettre en lien plus direct avec le type de profession, précise le directeur de l’ÉTSC, Gilles Tremblay. Autrement dit, on forme des travailleurs sociaux et non pas des gens qui font du service social. »

En crimino

Concernant plus spécifiquement le programme de criminologie, il explique que les changements découlent du fait qu’il était nécessaire de lui offrir un statut plus représentatif :

« Il commence à avoir une certaine maturité, étant donné que sa mise sur pied remonte à près de six ans, mais il demeure toujours invisible, du moins sur le plan du nom, ajoute-t-il. C’est un changement qui a l’avantage de le rendre plus visible et de lui donner le même statut que celui du travail social. »

Les parties prenantes impliquées ont eu une série de discussions à savoir si la criminologie continuerait de se développer dans la même institution dans les prochaines années. « Prenant en considération le contexte financier actuel, il était préférable que les deux continuent d’évoluer ensemble, nous croyons », explique M. Tremblay.

Quels changements concrets ?

Le professeur du programme de criminologie, Stéphane Leman-Langlois, tient toutefois à souligner que le cursus de cours ne subira pas de modifications à proprement parler : « Il n’y aura aucun changement en ce qui concerne le programme, affirme-t-il d’emblée. La seule autre transformation qui va s’opérer prochainement, c’est qu’on complètera la formation en ajoutant au certificat et au baccalauréat déjà existants, la maîtrise et le doctorat à partir de l’année prochaine. »

Aux dernières nouvelles, le programme de criminologie compte environ 500 étudiants. Bon nombre de leurs enseignants jouiront d’une nouvelle distinction grâce au nouveau nom adopté pour l’école. « Le changement a été fait en partie pour favoriser la recherche des étudiants du programme de criminologie à l’Université Laval, étant donné qu’il n’existait aucun département ni école étant identifié comme tel. Ce sera désormais plus facile pour eux de s’y retrouver », admet le professeur titulaire.

Des démarches sont actuellement en cours pour qu’une troisième profession se joigne à l’école éventuellement, à savoir le programme de thérapie familiale et conjugale, dans cette même optique de centralisation des ressources de visibilité et de promotion sociale.

Au moment d’écrire ces lignes, le nom de l’École de travail social et de criminologie demeurait toujours inchangé. Le processus administratif suivant son cours, le changement devrait être opérationnel au cours des prochaines semaines.

ChangementcriminologieÉcole de travail social et de criminologieGilles TremblaymodernisationService socialStéphane Leman-Langlois

Partager sur
Tweet
Article précédentEntre l’absurde et la réalité
Article suivantUne première exposition solo pour Iris Lindsay
Émilie Pelletier

Articles similaires

  • Fébrilité, stress et fierté

    Andrei Audet4 décembre 2018
  • Stéréotypes de genre : Le mal-être au masculin

    Élia Barbotin17 octobre 2017
  • Du pareil au même

    Guillaume F. Larouche12 octobre 2015
  • Quatre jours de commémoration

    Frédérick Durand23 janvier 2018
  • article placeholder

    De nouveaux enjeux de sécurité sur le campus

    henri.ouellette13 septembre 2016
  • Le respect, rien de moins : promouvoir, éduquer et renseigner

    Frédérick Durand7 novembre 2017

Ecrire un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Réseaux sociaux

  • Joindre l’équipe
  • Erratums et mémos
  • Politique de confidentialité