À l’heure où s’écrivent ces lignes, le Québec tout entier retient son souffle de- vant la finale de ce spectacle politique qui s’exécute depuis un mois. Non seulement les étudiants, mais l’entièreté de la population s’inquiète de l’avenir de la belle province. Le monde économique dérive et tente de sauver ce qu’il peut.

Et ça recommence!

Hubert Gaudreau

À l’heure où s’écrivent ces lignes, le Québec tout entier retient son souffle devant la finale de ce spectacle politique qui s’exécute depuis un mois. Non seulement les étudiants, mais l’entièreté de la population s’inquiète de l’avenir de la belle province. Le monde économique dérive et tente de sauver ce qu’il peut.

À l’heure où s’écrivent ces lignes, une nouvelle équipe d’Impact Campus, fébrile, réa- lise son premier journal de l’année, espérant informer, divertir, instruire et émerveiller ses nouveaux comme ses anciens lecteurs. Avec ces derniers mois plutôt mouvementés auxquels a dû faire face le Québec, et surtout sachant que ceux qui viennent le seront peut-être tout autant, nous voulons vous rendre la nouvelle d’une façon différente, innovatrice et surtout de façon éclairée.

Avec cette brise d’automne qui commence à s’installer, la rentrée,elle,s’est déjà mise en place. Le campus reprend vie et bientôt chacun d’entrenous sera replongé dans ses livres. Entre ces moments d’intenses efforts scolaires, il y aura ces marches entre les classes, le passage dans les sous-ter- rains et le temps glacial de l’hiver qui nous fera peut-être un peu plus apprécier nos pavillons, ceux-là réchauffés par le foisonnement de la vie universitaire.

Mais dès lors où tout cela sera enclenché, les temps morts seront peu fréquents. Tout de même, quand vous ne saurez plus où donner de la tête et que vous voudrez vous arrêter l’instant d’un moment, les bacs d’Impact Campus seront là, prêts à vous servir une de leurs copies chaudement sorties des presses tous les mardis matins.

À tous, bonne rentrée!

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