Dans les coulisses de UL: La Faculté de musique

 

Une salle de classe adaptée au besoin de la composition musicale. Les étudiant(e)s apprennent à maitriser le logiciel «Finale» un éditeur de partition, tout de même assez fastidieux à assimiler nous précise-t-on. Le clavier «écrit» les mélodies plus rapidement que sur une feuille de musique.

  

Une des deux salles où l’on peut pratiquer l’orgue dans le pavillon Casault.

 

 

 

 

 

Surpris en plein exercice, cet étudiant, Simon Landry, pratique l’eutonie «une approche corporelle qui vise le juste tonus, la juste utilisation du corps», nous précise sa professeure. Cet exercice sur une petite bûche est très utile pour les chanteurs car les muscles de leur coffre vocal vont se détendre et cela va décupler la portée de leur voix. C’est une méthode assez populaire à l’opéra ou au théâtre; cela développe aussi l’estime de soi.

 

 

 

 

 

 

 

Dans ce compartiment aux allures de navette spatiale, nous retrouvons des étudiant(e)s qui pratiquent des compositions de jazz entre autres. Ces espaces permettent d’insonoriser les répétions des jeunes musiciens.

 

 

 

 

 

Cette classe avec un grand espace permet de pratiquer des cours où l’on resent la musique à proprement parler. En écoutant de la musique classique (puis d’autres genres par la suite) les étudiants sont invités à se mouvoir en rythme. Ainsi, ils mesurent l’aspect spontané et organique de cet art. Ce sont aussi les prémisses de la direction d’orchestre. Le clip de Black Flag des Duchess Says pourrait illustrer de manière exagérée et dans un autre registre cet exercice.

     

La salle Henri-Gagnon accueille une multitude de concerts au long de l’année qui sont très accessibles. / Photo: Archives, Hoby Ratsimbazafy

 

l’ARC un studio d’enregistrement de grande qualité – Photo: Courtoisie /Dragos Chiriac

Auteur / autrice

  • Alice Beaubien

    Les photo-reporters m'ont donné la passion du journalisme quand j'étais ado. Plus tard, j'ai fait du graphisme pour le journal étudiant du cégep Limoilou et j'ai ensuite commencé à écrire en commençant par des critiques d'art. J'ai développé ma plume dans cette section en arrivant à l'université. . Je scrutais aussi attentivement le travail de mes prédécesseurs et des journaux concurrents de manière régulière. . Un jour, j'ai décidé de me donner les moyens d'avoir ce poste alors j'ai pris un travail à temps partiel pour me payer un boitier plus décent et j'ai pris un café avec une ancienne pour avoir des conseils de qualité. . Deux semaines après avoir commencé, j'ai décidé de prolonger d'une session mon cursus en Design Graphique, car j'aimais trop mon travail. . En une semaine, les assignations varient de l'actualité étudiante sur le campus, des spectacles ou expositions ou encore du sport ou des rassemblements sociaux, c'est très stimulant pour l'âme et l'oeil. . Ah pis, c'est Alice B.E.A.U.B.I.E.N comme le métro à Montréal ou son cinéma. 😉

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