Salon des littératures : « Une formule gagnante »

L’organisation d’un événement comme le Salon des littératures n’est pas de tout repos, surtout quand les objectifs sont élevés comme c’était le cas cette année. Coordonnatrice depuis maintenant deux ans, Catherine Parent revient sur la préparation  de cette troisième édition.

Depuis septembre, les membres du comité organisateur travaillaient à l’élaboration de ce rendez-vous destiné aux amoureux de la littérature. Si l’Atrium du pavillon Charles-de-Koninck l’avait accueilli l’an dernier, il s’est cette fois-ci tenu à l’Espace Jardin du pavillon Alphonse-Desjardins. Les organisateurs ont profité de ce changement de lieu pour revoir quelque peu la formule.

Ainsi, le nombre de kiosques a diminué, de manière à conserver ce qui fonctionnait le mieux et ainsi répondre directement aux besoins des visiteurs. « On essaie de dynamiser l’événement en allant chercher ce qui se passe dans la ville de Québec, tant à l’université qu’à l’extérieur », explique Catherine Parent, également auxiliaire d’enseignement à la Faculté des lettres et des sciences humaines.

À ses yeux, tous les éléments étaient réunis pour que l’événement connaisse du succès. « Je pense que, cette année, on est vraiment allés chercher une formule gagnante, estime-t-elle. L’an passé, on avait quatre fois plus de kiosques et on était à l’atrium. Là, on a vraiment ciblé ce qui marchait le plus. »

Occasion de transmission

Cette année, le choix du thème du salon s’est arrêté sur la transmission. La sélection des auteurs pour la conférence de même que pour la table ronde s’est faite en fonction de celui-ci.

Par exemple, pour l’invitée d’honneur Sophie Bienvenu, la transmission se fait au niveau cinématographique, car l’une de ses œuvres, Et au pire, on se mariera va bientôt être adaptée au septième art. Une sélection du même genre a été faite pour des auteurs dans d’autres créneaux.

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