La relève de Québec bien en vue au FEQ 2016

À midi ce mardi ont été révélés les 300 artistes qui seront du Festival d’été de Québec (FEQ) du 7 au 17 juillet prochain. Dans le lot, une bonne brochette de talents locaux dont plusieurs sont récemment passés au Show de la Rentrée.

Aux côtés des Red Hot Chili Peppers, Rammstein et autres Sting se produiront un bon nombre de groupes émergents de la Capitale, dont plusieurs à l’Anti. La salle de la rue Dorchester accueillera Émeraude (9 juillet 17h), Harfang (10 juillet 17h), Jérôme Casabon (12 juillet 17h), Anatole et Simon Kearney (13 juillet dès 17h) ainsi que Medora (15 juillet 17h).

La Limouloise Safia Nolin, dont le premier album a été encensé par la critique tant au Québec qu’en France, sera à l’Impérial Bell le 9 juillet à 19h45. La salle de spectacle de la rue Saint-Joseph verra également une prestation de Koriass le 17 juillet à 21h.

Le diplômé lavallois en réalisation numérique Dragos Chiriac foulera les planches de la scène Fibe, Place de l’Assemblée-Nationale, par deux fois avec les formations Men I Trust et Ghostly Kisses, le 15 juillet à compter de 18h30. Deux jours plus tard, le groupe local Best Foot Forward montera sur cette scène (17 juillet 18h30).

Les gars de l’émission chyzienne Funk Connection seront quant à eux au District Saint-Joseph en tout début de festival, le 9 juillet à 22h.

Show de la Rentrée prise 2

Les habitués du Show de la Rentrée reconnaîtront dans l’affiche du FEQ plusieurs noms connus. En plus d’Anatole et Harfang, la cuvée 2016 propose des prestations de SoCalled, We are Monroe et We are Wolves, King Abid et Karim Ouellet de même que Marie-Pierre Arthur et Busty and the Bass.

Auteur / autrice

  • Kim Chabot

    Journaliste culturelle dans l’âme et historienne de formation, Kim est passionnée par la littérature, les arts visuels et le théâtre. Elle aime découvrir de tout, des grands classiques aux projets artistiques de la relève. Pour elle, les scènes de l’Université Laval et de la Ville de Québec sont des gros terrains de jeux aux possibilités infinies. Elle nourrit aussi un grand amour pour la langue française, au grand dam de ceux qu’elle reprend inlassablement pour des « si j’aurais ».

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