Puma Freytag, président du Syndicat des chargés et chargées de cours de l’Université Laval, dénonce l’incapacité « à penser les relations de travail » du vice-rectorat aux ressources humaines de l’Université Laval.
L'association étudiante Amnistie Internationale de l'Université Laval a organisé un die-in dans l'Atrium du pavillon Alphonse-Desjardins mercredi dernier. Une initiative ayant pour but de dénoncer la peine capitale en cette dixième Journée mondiale contre la peine de mort.
Plusieurs étudiants dénoncent des tarifs de stationnement trop élevés sans avoir accès à des alternatives. Prendre la voiture est considéré comme un « mal néces- saire» par ceux-ci.
Attention, mesdames et messieurs, dans un instant on va com- mencer... et tous les acteurs vont s'animer en même temps. Bon, plus que deux semaines avant le début de la session parle- mentaire pour les nouveaux (et anciens) élus tout juste sortis de la dernière élection.
La version papier du journal étudiant l'Exemplaire devait disparaître dès novembre, mais elle survivra pour au moins un an encore. La direction est à discuter avec un comité chargé de la refonte du baccalauréat en communication publique.
Il l’avait promis lors de la dernière course au rectorat en avril dernier et il en fait désormais une priorité: le recteur Denis Brière entend embaucher 80 professeurs dès cette année malgré l’incertitude financière des universités québécoises.
Léo Bureau-Blouin était loin d’avoir la coupe aux lèvres quand il a quitté la Fédération étudiante collégiale du Québec ( FECQ ) en juin dernier. Toujours sans entente avec le gouvernement Charest en lien avec la hausse des frais de scolarité, le nouveau député péquiste de Laval-des-Rapides craignait une démobilisation des étudiants.
Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement péquiste de Pauline Marois tente de tenir plusieurs de ses promesses. L'une d'elle consiste à augmenter l'impôt des « riches » et la taxe sur le capital afin de combler le déficit laissé par l'abolition de la taxe santé.